Depuis près de 20 ans, j’ai évolué dans l’univers exigeant de l’hôtellerie de luxe et de la restauration étoilée, en France, à Monaco, dans les Antilles, aux États-Unis et en Suisse.
Poussée par l’envie de maîtriser tous les aspects d’un établissement pour, un jour, gérer ma propre maison, j’ai choisi de parcourir une grande partie des services d’un établissement de luxe.
De la restauration à la réception-conciergerie, de la réservation au recrutement, du service commercial à la comptabilité, j’ai exercé auprès d’Alain Ducasse ou au sein d’établissements prestigieux tels que l’Intercontinental Genève 5* ou le Grand Hyatt Cannes Hôtel Martinez 5*.
Mon goût pour l’excellence et l’engagement est né très tôt : formée au Lycée d’Hôtellerie et de Tourisme du Val de Loire, à Blois, j’ai eu l’honneur de remporter en terminale le Concours National du Café Malongo. Cette expérience a été pour moi la première immersion dans le monde des concours d’excellence : un monde de passion, de précision et d’exigence.
Pourtant, la vie a décidé de m’amener ailleurs.
La pression extérieure, l’exigence que je m’imposais, et un rôle de mère inattendu m’ont profondément bouleversée.
À force de tout vouloir concilier seule, sans accompagnement, la quête de l’excellence a fini par me dépasser.
Mon corps m’a stoppée net. Il m’a imposé de tout arrêter.
Ce surmenage, cette descente brutale, je l’ai vécue intensément. Mais avec du recul, c’est cette épreuve qui m’a permis de comprendre que la passion ne suffit pas : pour durer, il faut être soutenu(e), équilibré(e) et aligné(e).
Aujourd’hui, si je me suis formée à des méthodes telles que la kinésiologie neuro-intégrative, la déprogrammation émotionnelle, et la NAPSO Thérapie, ce n’est pas par hasard.
C’est pour accompagner ceux qui vivent de leur passion, ceux qui ont choisi ces métiers uniques qui les font vibrer.
Car travailler dans un métier que l’on aime est une chance inouïe dans la société d’aujourd’hui.
Mais combien d’amis, d’anciens collègues ou de camarades de promotion ai-je vu quitter ce monde par épuisement, dégoût, ou burn-out?
Je trouve cela profondément injuste.
Oui, ces métiers de passion sont exigeants, intenses, prenants.
Mais rien n’est plus beau que de vibrer pour ce que l’on fait. Rien n’est plus important que de trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.
J’aurais aimé, à l’époque, être guidée pour trouver cet équilibre.
Aujourd’hui, j’ai à cœur de transmettre cette voie : montrer que l’on peut vivre pleinement son métier, en y prenant plaisir sans mettre de côté sa vie personnelle.
Que l’on peut être parent et travailler le week-end.
Que l’on peut offrir à ses enfants du temps en décalé, peut-être plus court, mais du temps de qualité. Une façon de les inspirer et leur transmettre la valeur d’un travail de passion plutôt que de transmettre le vide d’une vie monotone et sans ambition.
Que l’on peut se libérer du regard des autres, des croyances limitantes des générations précédentes, et de la pression sociale.
« On peut décider qui on veut être. Et on peut le devenir. Voilà ce en quoi je crois. Voilà ce vers quoi j’ai envie de vous accompagner. »
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